L'essentiel
à savoir pour comprendre le déni de débat dont personne n'a
entendu parler dans les grands médias.
Le
mariage homosexuel, c'est l'imposition de la théorie du Gender
(genre) qui envahit actuellement le monde. La doctrine est issue des
milieux lesbiens et gays et du féminisme radical américain qui
l'ont théorisée autour des années 60-70.
Ces adeptes de la Révolution ultime contre la Nature ont décidé d'imposer une nouvelle culture dominante totalitaire, conçue comme une véritable religion par des "théologiennes", véritables gourous "spirituels" du mouvement.
Les"
féministes radicales" ou "féministes du genre" ne
sont pas à confondre avec les féministes classiques qui cherchaient
à obtenir une égalité raisonnable entre les hommes et les femmes.
Ici,
il s'agit de féministes d'obédience néo-marxiste qui identifient
l'origine de la lutte des classes dans la différence originelle
entre les hommes et les femmes.
Cette
dialectique ne s'appuie plus sur une défense de la condition
féminine mais sur l'objectif de déconstruire la société pour
créer une nouvelle civilisation.
La
forme naturelle universelle des sociétés étant "la famille",
c'est elle qui doit être déconstruite en premier et, pour cela, il
faut détruire tout ce que l'on sait sur l'homme et la femme qui ne
serait qu'une construction sociale et culturelle.
L'insurmontable
pour le Gender c'est que la fécondité est la source obligée de la
famille homme, femme, enfants.
Le
contournement de cet écueil est l'introduction d'enfants par
adoption, PMA, et GPA, permettant ainsi toutes sortes de familles
nouvelles au large choix des adultes.
L'enfant
devient alors le prétexte, la victime et le moyen de détruire la
famille naturelle en le distribuant à volonté (sous espèces
sonnantes et trébuchantes) à ces nouvelles unions, stériles en
elles-mêmes.
Un
autre écueil de taille pour le Gender, qui prétend créer une
humanité nouvelle en détruisant celle qui existe depuis le
commencement, est la réalité du modèle sexuel masculin et féminin.
Le
tour de passe-passe enfantin des "Merlins l'Enchanteur" est
tout simplement
d'affirmer
qu'il n'y a pas de sexes masculin et féminin et que cette différence
n'est qu'une construction culturelle et sociétale, véritable dogme
du Gender.
Il
ne s'agit plus de revendiquer une défense de la féminité mais une
destruction des modèles homme-femme dans tous les détails de la
nature puisque la reproduction est revendiquée entre femmes seules,
entre hommes seuls (alors qu'il y aura toujours un père et une mère
biologiques même en cas d'hommes porteurs d'utérus, un des rêves
reproductifs de ces professeurs Nimbus).
L'autre
tour de passe-passe de ces doctrinaires, leur arme redoutable, c'est
d'affirmer que ce qu'une construction culturelle a érigé en vérité,
une autre conception culturelle, radicalement opposée, peut l'abolir
et l'inverser, en imposant de nouveaux modèles culturels, que tout
le monde serait obligé d'adopter, grâce aux contraintes de lois
nouvelles appuyées par la force policière étatique.
Ces
théoriciens ont parfaitement compris ce qui paraît évident mais
qui n'est pas assez intégré par l'esprit humain qui en dépend
pourtant, c'est l'influence extrême que peuvent avoir les cultures
sur la constitution profonde de l'esprit humain.
Les
hommes sont, en grande partie, le fruit de leurs cultures dominantes.
L'être est institué par les institutions .Partant de cette réalité,
ils ont décrété d'autorité que, même la nature, était le
résultat de la culture dominante, niant les évidences de la
Création.
Pour
eux, il n'y a pas d'hommes ni de femmes, sauf à avoir été
catégorisés hommes et femmes par la culture dominante.
Niant
contre toute raison qu'il y ait des sexes masculins et féminins, ils
remplacent la réalité masculine et féminine, qu'ils veulent
détruire, par l'invention sémantique des genres (genders) sexuels
détachés de toute réalité chromosomique, génétique,
anatomique, biologique, fonctionnelle, psychologique et psychique.
La
réalité ne serait plus le sexe originel de chacun mais le choix
culturel, favorisé par la loi, de ne plus vivre comme homme et
femme mais selon le choix de "genres" qui seraient au moins
cinq: hétero sexuels, homosexuels masculins, homosexuels féminins,
bisexuels, transsexuels et retour, à volonté ignorant que comme il
n’y a que deux sexes, il n’y a que deux genres , masculin et
féminin.
Pour
arriver à de telles aberrations pour un esprit normal, il a fallu
utiliser l'arme intellectuelle de la sémantique de type dialectique
qui consiste à retourner le vocabulaire contre la réalité et la
vérité
Le
moyen se trouve dans l'exploitation de situations plus ou moins
conflictuelles que l'on retourne en faveur du mensonge, toujours par
des tours de passe-passe.
Pour
cela, il faut utiliser des mots porteurs de vertus pour profiter de
leur symbolique en les utilisant contre leur signification réelle.
La tyrannie s'impose d'abord aux mots pour s'imposer ensuite à tous.
"Avancée",
"progrès" "évolution", pour ce qui n'est
que régression. "Sens de l'Histoire" utilisé pour
justifier la dictature des cas particuliers sur la société et sur
les enfants-marchandises. Hitler et Staline furent en leur temps le
sens de l’Histoire.
Le
bon sens et la justice permettent d'affirmer que le droit des enfants
prime sur le droit à l'enfant et outrepasser ce droit débouche sur
une ségrégation entre enfants des familles naturelles et enfants
des paires H.H ou F.F.
La
ségrégation est le fait d'une loi qui offre des enfants aux paires
d'adultes stériles comme moyen de prétendre à la constitution
abusive de familles légales.
Les
cas particuliers sont à traiter avec justice par la société mais
ils ne peuvent être imposés comme nouvelles normes au détriment de
la famille naturelle, surtout quand l'intention sous-jacente de la
civilisation du Gender est de détruire cette famille.
La
manipulation sémantique utilise "Les familles" au lieu de
"la famille", "couples" au lieu de "paires"
identiques, "l'égalité" pour nommer "l'identique"
au détriment des différences et de l’altérité, qui seules
méritent d'acquérir le droit à l'égalité.
Le
summum de cette manipulation s'étale quand ils disent: "Cette
loi n'enlève aucun droit à la famille traditionnelle et ouvre de
nouveaux droits identiques aux autres". Cette sémantique est
diabolique dans le fait qu'elle affirme le contraire de la réalité :
En perdant son statut de modèle social unique, la famille naturelle
n'existe plus, ipso facto, dans ses droits propres. Les droits ne
peuvent être identiques pour des intérêts radicalement différents
et les nouveaux droits des familles artificielles prédomineront au
détriment des intérêts particuliers des familles traditionnelles,
parfait exemple de "déconstruction" du Gender.
Quand
ils n'ont rien à opposer à la vérité, les Sachems du leitmotiv
dialectique se mettent à psalmodier, dans une attitude de mépris :
"nous n'avons pas les mêmes valeurs!".
("J'assène
donc je pense !")
Comme
si faire valser les mots "valeurs" comme des derviches
tourneurs, pouvait créer une valeur à partir du non-dit et au
besoin de n'importe quelle contre-valeur. La ficelle est toujours
d'utiliser un mot pour faire avaler le contraire de ce qu'il signifie
et persuader l'auditoire envoûté par la vertu du mot "valeur",
que cette "valeur" est sans équivalence possible, même
s’il s’agit d’une horreur.
Puis
on appelle débat le rejet du débat.
Une
autre arme dialectique est de condamner d'avance toute réflexion
comme celle-ci, toute protestation, sous l'accusation systématique
d'homo phobie. Pour arriver à cette fin dictatoriale, il a fallu
contraindre l'ordre naturel classique par la force de la loi afin de
briser toute résistance à ce changement prétendu de la nature
humaine.
Ces adeptes de la Révolution ultime contre la Nature ont décidé d'imposer une nouvelle culture dominante totalitaire, conçue comme une véritable religion par des "théologiennes", véritables gourous "spirituels" du mouvement.
Pour
elles, la "déconstruction" des religions est essentielle,
en particulier le Christianisme car la figure d'un Homme-Dieu sauveur
leur est insupportable, de même celle d'un Dieu qu'elles préfèrent
remplacer par l'idée de la sagesse féminine, sophia, qu’elles
appellent la "Déesse".
Elles
affirment que tous les textes bibliques, sans faire de détail, sont
le produit d'une culture et d'une histoire patriarcale centrée sur
l'homme, rejetant à priori qu'ils puissent être aussi le fruit
d'une révélation inscrite dans un monde antique effectivement
patriarcal.
Lors
de la Conférence Internationale de la Population et du Développement
du Caire de 1994, elles attaquaient surtout le catholicisme avec une
concentration remarquable de la technique dialectique que je
souligne: "Le fait de demander que soient
respectés
les droits
élémentaires
ne concorde pas avec l'opposition
déclarée de toutes sortes de fondamentalistes
religieux,
Vatican
en
tête, qui
sont opposés
à la santé
et aux droits
reproductifs,
et même
aux services
de planification
familiale ".
"Santé"
et "droits reproductifs" et "services de planification
familiale" se résument à la distribution tous azimuts du
préservatif sans jamais enseigner l’amour et à l’avortement (la
mort pour les avortés) présentés comme des valeurs sous le
camouflage de mots plus vertueux les uns que les autres.
Les
alliés de la Révolution du Gender c'est d'abord l'ignorance dans
laquelle ont été confinées les populations, toujours avec
l'utilisation de la dialectique prétendant que le déni
d'information est de l'information et du débat.
Les
autres alliés sont toutes les institutions nationales, européennes
et mondiales, gangrenées par leur influence qui est grande...
Depuis
la 4ième conférence mondiale sur la femme des Nations Unies en
1995, le Gender a infiltré les instances internationales de l'ONU et
ses dérivés: OMS, etc .
Les
alliés sont aussi le phénomène de mode habituel dans le milieu du
show-biz et de la population non avertie de ce qui se trame.
De
même les médias aux ordres des pouvoirs financiers acquis à
l'idéologie du Gender, ou ignorants, ainsi que les nombreux
politiciens plus ou moins soumis au lobby LGBT. La haute Finance
et le veau d’or répondent présents ( Apple ,Pierre Bergé
propriétaire du Monde et du Quotidien etc…)
La
volonté est d’ d'infiltrer administrations et partis comme en
d’autres temps la consigne a été donnée avec succès aux
militants marxistes de tous pays d’infiltrer les séminaires pour
mettre l’Eglise au service de la Révolution, (selon une ancienne
dirigeante du parti communiste américain convertie au catholicisme).
Ces militants ont gardé leurs mœurs, créé des réseaux, certains
sont devenus évêques et, il n’y a pas de hasard, le Gender est
une création marxiste ; ils lutteront sournoisement contre la
Résistance avec la ficelle du « fascisme » ou ses
équivalences connues.
Sous
Sarkozy cette théorie a été inscrite dans des livres de classe de
terminale par l’éducation nationale où les genders font la loi,
comme au syndicat marxiste de la magistrature.
Depuis
l’échec du communisme, le Gender est le nouveau dada du marxisme.
En
France, le Président , hostile au mariage pour lui, promène sa
maîtresse dans les instances internationales comme première dame.
Tous ceux qui sont contre le mariage sont pour le "mariage pour
tous".
La
seule décision capitale prise dans une période de crise économique
extrême a été d'introduire le mariage homosexuel dans le cadre de
la révolution civilisationnelle revendiquée par le gouvernement .
L'ignorance,
la précipitation, le déni d'explication, la propagande à sens
unique, l'entêtement incroyable à imposer les idées du Gender
contre une majorité de Français de mieux en mieux informés,
prouvent que pour le gouvernement, la tyrannie du "Gender"
était plus importante à installer que de régler les problèmes
économiques qui accablent le pays.
Totalement
surpris par le soulèvement populaire inattendu qui s’installe, le
pouvoir et ses affidés médiatiques tentent de le catégoriser comme
extrémiste, avec la tentation de justifier d'avance la répression
en favorisant une spirale de violence pour en accuser les véritables
victimes ( toujours la même dialectique).
La
dictature du genre s'est réellement installée dans les pays conquis
par elle.
En
Espagne, les parents ont dû se mobiliser en masse pour faire rejeter
cet enseignement à l’école. et, en Allemagne, des peines de
prison ferme de 43 jours (renouvelables) ont été infligées aux
parents qui refusaient d’envoyer leurs enfants à ces cours , avec
l'aval de la cour européenne de justice, gangrenée par des
technocrates acquis au "Gender" .
En
France, dès la rentrée prochaine, les enfants de six ans devront
apprendre à « déconstruire »leur genre masculin ou
féminin au profit du choix possible d’un autre genre.
Ou
la dictature du "Gender" est appliquée par la force
injuste de lois iniques ou la Résistance pacifique mais capable
d'aller au martyr, la balayera au profit d'une alliance renouvelée
de l'homme et de la femme dans la vérité de leur amour.
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